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Retourner chez soi aussi vite que possible après le travail — Qui a décidé des "40 heures par semaine" ? Un devoir de fin d'année pour remettre en question le 9 à 5

Retourner chez soi aussi vite que possible après le travail — Qui a décidé des "40 heures par semaine" ? Un devoir de fin d'année pour remettre en question le 9 à 5

2025年12月20日 09:48
À l'approche de la fin de l'année, le sentiment de vouloir "changer l'année prochaine" émerge souvent. Perdre du poids, commencer à faire de l'exercice, économiser de l'argent——ces résolutions classiques sont courantes, mais ces dernières années, celles liées au "travail" gagnent en popularité. Un article de The Conversation publié sur Phys.org aborde précisément ce sujet. "Depuis quand avons-nous pris pour acquis le '9h-17h, 40 heures par semaine'? Et est-il possible de changer cela?" Cet article propose de réévaluer notre façon de travailler non pas par la "force mentale", mais en se basant sur l'histoire, les données et la culture. Phys.org


Le "9 à 5" n'est pas une loi de la nature

Pour beaucoup, la semaine de 40 heures, le fameux "9 à 5", est la norme. Le fait que les applications de calendrier colorient cette plage horaire comme "heures de travail" est symbolique, donnant l'impression que notre vie est dès le départ centrée sur le travail. Phys.org


Cependant, l'article souligne que "ce n'est pas une vérité immuable depuis toujours". Avant la Grande Dépression, travailler six jours par semaine était courant, le dimanche étant réservé à l'église, et la demi-journée du samedi s'est progressivement répandue. C'est dans ce contexte, avec les lois de l'ère du New Deal, que la semaine de 40 heures s'est installée. En d'autres termes, le modèle de travail que nous considérons comme "normal" est le produit de mouvements politiques, économiques et sociaux, et non une fatalité figée. Phys.org


Ce qui est important ici, c'est que l'histoire ne sert pas de nostalgie, mais de preuve de "changements possibles". Le mode de travail actuel peut être repensé si les systèmes et la culture évoluent——l'article prépare soigneusement le terrain pour cela.


Les pays riches travaillent moins ? Pourtant, les États-Unis travaillent longtemps

L'article mentionne la tendance générale selon laquelle "les pays plus riches ont tendance à avoir des heures de travail plus courtes", tout en soulignant que les États-Unis ont tendance à travailler plus longtemps que d'autres pays développés. Phys.org


C'est ici qu'intervient le mur invisible de la "culture du travail". Même si l'on souhaite réduire le temps de travail, l'atmosphère au travail ne le permet pas. Ou bien, il est tout simplement impossible de réduire les heures pour des raisons de subsistance.


L'article souligne également que l'excès de travail a des effets sur le corps et l'esprit, qui ne peuvent être ignorés par un simple "coup de fouet". Selon les données de Gallup, plus les heures de travail sont longues, plus le risque de burn-out augmente, et il est mentionné que la durée moyenne du travail aux États-Unis a légèrement diminué ces dernières années, avec une réduction plus marquée chez les jeunes générations. Phys.org


Réduire le temps de travail n'est pas synonyme de "paresse", mais peut être vu comme un "changement de priorités dans les valeurs".


"Time macho" et "face time" : la malédiction du long travail = excellence

Ce qui est frappant dans l'article, c'est la mise en mots de l'idée reçue selon laquelle "plus on travaille longtemps, plus on est valorisé". Le concept de "time macho", proposé par Anne-Marie Slaughter, désigne une culture où les personnes qui travaillent longtemps sont perçues comme "fortes, compétentes et engagées". Phys.org


Un autre concept est le "face time"——le fait d'être vu au travail est considéré comme une preuve de loyauté. Phys.org


Le problème est que cette malédiction privilégie le "temps passé" sur la qualité des résultats, ce qui peut nuire à la productivité et à la santé. L'article présente des recherches montrant que "travailler plus longtemps ne conduit pas automatiquement à de meilleurs résultats" et aborde le mécanisme par lequel la fatigue réduit la productivité. Phys.org


En d'autres termes, un lieu de travail "time macho" semble valoriser "l'effort", mais encourage en réalité "l'accumulation de fatigue".


La semaine de 4 jours : de l'utopie aux données expérimentales

Alors, comment changer cela ? L'une des solutions concrètes présentées dans l'article est l'expérimentation de la "semaine de 4 jours (32 heures) avec maintien du salaire". Des initiatives comme 4 Day Week Global sont en cours d'essai dans plusieurs pays et secteurs, et les résultats rapportés sont positifs pour les entreprises et les employés. Phys.org


La page de recherche de 4 Day Week Global présente des résultats d'essais à grande échelle au Royaume-Uni, tels que la réduction des absences pour maladie et le choix de nombreuses entreprises de continuer l'expérience. 4 Day Week Global


Une idée fausse courante est que "plus de jours de congé = moins de résultats". La semaine de 4 jours n'est pas simplement une "augmentation des vacances", mais implique une refonte complète de la manière de travailler, y compris la compression des réunions, la communication asynchrone et l'inventaire des tâches. Par conséquent, le succès ou l'échec dépend non seulement de "l'introduction du système", mais aussi de "la conception de son fonctionnement". L'article met en garde contre cette confusion entre "moyens et objectifs". Phys.org


L'IA réduira-t-elle le travail ? Un avenir où "l'intensité augmente" est également possible

L'espoir que "l'IA prenne en charge les tâches fastidieuses et réduise le temps de travail" est une idée bien ancrée. L'article reconnaît cet espoir, mais avertit qu'il n'y a aucune garantie. Les avantages ne seront pas répartis équitablement, et il est possible que le "temps libéré" soit rempli de nouvelles normes, augmentant l'intensité du travail. Phys.org


"Efficacité = loisirs" peut devenir "efficacité = augmentation des attentes". C'est une réalité que de nombreux travailleurs ressentent.


Ceux qui peuvent changer ont la responsabilité de le faire

La fin de l'article est intéressante car elle ne se réfugie pas dans l'utopie et reconnaît que "seules certaines personnes peuvent changer". Beaucoup ne peuvent pas choisir leurs heures de travail. Certains doivent cumuler plusieurs emplois. Phys.org


Néanmoins, si vous êtes en position d'ajuster——en tant qu'individu, démontrez "comment obtenir des résultats dans ce laps de temps", et en tant qu'organisation, soyez conscient de "l'autorité d'influencer le temps de travail des autres" pour transmettre un impact positif à la "prochaine personne". Phys.org


Cette conclusion est efficace non pas comme un simple développement personnel, mais comme une discussion sur la rupture de la "chaîne" de la culture du travail.



Réactions sur les réseaux sociaux (exemples + points de discussion)

L'article lui-même, sur la page de Phys.org, affiche un nombre de partages de "0" (cela pourrait être dû à la configuration d'affichage, mais au moins le compteur de la page ne bouge pas). Phys.org


Par ailleurs, l'auteure Jennifer Tosti-Kharas a partagé l'article sur LinkedIn, où il a suscité des réactions et des commentaires. LinkedIn


1) "Ce n'est pas seulement une question de décision personnelle, mais de culture organisationnelle"
Les commentaires soulignent que la réduction du temps de travail ne peut être réalisée uniquement par la "volonté individuelle", mais dépend des besoins et de la culture de l'organisation. LinkedIn


2) "Il y a déjà des entreprises qui pratiquent la semaine de 4 jours"
Un commentaire mentionne un exemple d'entreprise aux Pays-Bas (semaine de 4 jours avec le salaire de 5 jours) et partage que "les résultats sont prometteurs". Cela montre que la semaine de 4 jours n'est pas un "rêve lointain", mais une pratique de plus en plus courante. LinkedIn


3) "Pour changer la culture, les symboles (Dolly Parton) peuvent aussi aider"
Un autre commentaire fait une légère référence à l'élément de la culture pop "9 to 5" (Dolly Parton) mentionné dans l'article, tout en approuvant ses qualités. Lorsque des sujets sérieux sont associés à des éléments "faciles à partager", ils ont tendance à se propager plus facilement sur les réseaux sociaux. LinkedIn


Il est également confirmé que l'article a été partagé par le compte officiel de The Conversation U.S. sur X (anciennement Twitter). X (formerly Twitter)

 



La "division" typique des points de discussion sur les réseaux sociaux(Les réactions générales cohérentes avec les affirmations de cet article)

  • Partisans : "Les longues heures ne sont pas une vertu", "Jugez par les résultats", "La semaine de 4 jours devrait fonctionner"

  • Prudents : "Cela ne concerne-t-il pas uniquement les emplois à responsabilité ou

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