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« Je veux des enfants, mais je ne peux pas en avoir » : le rapport de l'ONU reflète la « véritable crise de la natalité » et la situation actuelle du Japon.

« Je veux des enfants, mais je ne peux pas en avoir » : le rapport de l'ONU reflète la « véritable crise de la natalité » et la situation actuelle du Japon.

2025年06月12日 02:20

1. Introduction──Le malentendu du "déclin de la natalité dû au manque de volonté"

Dans le monde entier, les taux de natalité ont chuté à des niveaux historiques, et les gouvernements ainsi que les médias se lamentent en disant que "les jeunes ne veulent plus d'enfants". Cependant, le dernier rapport de l'UNFPA, "The Real Fertility Crisis" (publié le 10 juin 2025), renverse cette idée reçue. "Le problème n'est pas qu'ils 'ne veulent pas', mais qu'ils 'ne peuvent pas'", affirme-t-il.globalnews.caunfpa.org


2. Vue d'ensemble du rapport de l'ONU──Méthodologie et indicateurs clés

L'UNFPA a collaboré avec YouGov pour enquêter sur plus de 15 000 personnes dans 14 pays (représentant plus d'un tiers de la population mondiale) tels que les États-Unis, le Mexique, le Brésil, l'Allemagne et la Corée du Sud. **49 %** ont déclaré ne pas atteindre le nombre d'enfants idéal pour des raisons économiques, et **39 %** ont cité "les contraintes financières" comme un obstacle. Le chômage, les bas salaires et la flambée des prix de l'immobilier représentent environ 20 %, tandis que plus de 20 % ont mentionné des inquiétudes pour l'avenir, telles que le changement climatique et les conflits.theguardian.comaljazeera.com


3. Raisons de "ne pas pouvoir choisir"①──Coût élevé persistant et insécurité de l'emploi

Le principal obstacle mis en avant par le rapport est le "coût de l'éducation des enfants". Certains pays estiment qu'il faut plusieurs centaines de milliers de dollars par enfant, en incluant non seulement les frais de garde, mais aussi les frais de scolarité, le logement, les soins de santé et les opportunités éducatives. Les données de l'OCDE sur le revenu disponible des ménages montrent également que dans de nombreux pays développés, la croissance des salaires est inférieure à l'inflation, affectant particulièrement les jeunes générations. Cette hausse persistante du "coût de la vie global" incite à la réduction des naissances.globalnews.ca


4. Raisons de "ne pas pouvoir choisir"②──Inégalités de genre et charge des soins

Dans l'enquête, **11 %** ont cité "le manque de participation du partenaire aux tâches ménagères et à l'éducation des enfants" comme un obstacle. Le pourcentage de réponses des femmes était environ deux fois plus élevé que celui des hommes. Sur les réseaux sociaux de divers pays, le cri "la conciliation entre carrière et éducation des enfants a ses limites au niveau individuel" se répand. L'UNFPA plaide pour la participation des hommes aux soins des enfants et la généralisation des congés parentaux payés, avertissant que la réforme des pratiques d'emploi devrait être priorisée par rapport aux "primes de naissance" à court terme.unfpa.org


5. Raisons de "ne pas pouvoir choisir"③──Inquiétudes pour l'avenir et "phobie climatique des enfants"

Le rapport souligne également que **22 %** hésitent à avoir des enfants en raison de préoccupations liées au "changement climatique, à la guerre et à la pandémie". Récemment, le hashtag "#NoFutureNoKids" s'est répandu sur les réseaux sociaux, et à chaque nouvelle de feux de forêt ou d'inondations, les commentaires "ne pas faire payer la facture aux enfants" augmentent. Cette tendance à éviter les naissances pour des raisons environnementales commence également à se répandre au Japon.globalnews.ca


6. La situation actuelle du Japon : une crise indiquée par le premier passage sous la barre des 700 000 naissances

Le Japon n'était pas inclus dans l'étude, mais les observations du rapport s'appliquent directement à sa situation actuelle. Selon les chiffres préliminaires du ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales, le nombre de naissances en 2024 est de 686 061, avec un taux de fécondité total de 1,15. Ces chiffres sont les plus bas jamais enregistrés. Le niveau prévu par le gouvernement pour la fin des années 2030 a été dépassé plus de 15 ans plus tôt, ce qui souligne l'accélération de la diminution de la population.nippon.comenglish.kyodonews.net


6-1 Les "quatre fardeaux" de l'insécurité économique

  1. Stagnation des salaires réels

  2. Augmentation des coûts du logement : Les prix des appartements en copropriété dans le centre-ville ont augmenté de 25 % par rapport à avant la pandémie.

  3. Charge des frais de garde d'enfants et d'éducation : On estime que le coût total, y compris les activités parascolaires, les cours préparatoires et les frais universitaires, dépasse 30 millions de yens par enfant.

  4. Anticipation des risques liés à la retraite : Beaucoup disent qu'il est impossible de soutenir la génération parentale, de préparer sa propre retraite et d'élever des enfants en même temps.


6-2 Les "distorsions" du système social

Bien que l'extension de la gratuité de l'éducation préscolaire dans les années 2010 soit appréciée, la différence de temps consacré aux tâches ménagères et à l'éducation des enfants entre les sexes, qui est en moyenne de 13,1 heures par semaine (enquête du Cabinet Office 2024), continue de réduire le désir d'avoir des enfants.


7. Les voix sur les réseaux sociaux : des hashtags qui rendent visible le désir d'avoir des enfants, mais...

Pays d'originePrincipaux hashtagsPublications représentatives (traduction libre)Nombre de réactions
Japon#子どもを産みたいけど産めない« Même avec deux revenus de 4 millions de yens par an, il est impossible d'avoir un appartement 2LDK à Tokyo. Posséder une maison est un rêve lointain. »12 000 j'aime
Corée du Sud#육아전쟁« Les crèches sont dans un état de "loterie d'admission". Un taux de fécondité total de 0,7 est une conséquence évidente. »9 000 retweets
Allemagne#Kinderwunsch« Avec un loyer de 2 000 € et une pénurie de personnel de garde, comment avoir un deuxième enfant ?」3,500 reposts
États-Unis#NoFutureNoKids« Je n'ai pas le courage d'avoir des enfants si le changement climatique continue ainsi »7,800 likes

*Les principaux messages sont des publications publiques sur X (anciennement Twitter) traduites et résumées par l'auteur. Les captures d'écran sont citées dans le cadre des droits d'auteur conformément aux lois des différents pays et aux règles de la plateforme.x.com


8. Avis d'experts──« Des choix plutôt que des récompenses »

  • Masahiro Yamada (Professeur émérite de l'Université Chuo, sociologue de la famille)

    « Les aides financières seules ne peuvent pas briser le "mur de l'impossibilité". À moins de repenser de manière globale le logement, le mode de travail et l'égalité des sexes, le taux de natalité au Japon ne se rétablira pas. »

  • Natalia Kanem (Directrice exécutive de l'UNFPA)

    « Investir audacieusement dans l'économie des soins et créer une société où les gens peuvent avoir autant d'enfants qu'ils le souhaitent quand ils le souhaitent est la véritable politique démographique. »unfpa.org


9. Ordonnance pour l'avenir──Quatre perspectives que le Japon devrait adopter

  1. Politique de logement à long terme : Pérennisation des subventions au loyer basées sur le revenu

  2. Objectif de 100 % de congés paternels : Garantie d'un taux de compensation de revenu supérieur à 80 %

  3. Conciliation de la "quantité" et de la "qualité" des soins : Augmentation significative des salaires des éducateurs

  4. Politique de reproduction verte : Soutien à l'éducation parentale face à l'anxiété climatique (ex : intégration des subventions pour les énergies renouvelables et des allocations parentales)


10. Conclusion──Une société où l'on peut choisir arrêtera le déclin démographique

Il n'existe pas de remède miracle pour augmenter le taux de natalité. Cependant, un environnement où l'on peut librement décider d'avoir ou non des enfants améliore non seulement le bonheur individuel mais aussi la durabilité de la société. La question posée par le rapport est simple :Avons-nous vraiment choisi une politique qui donne des "options" aux gens ?


Articles de référence

Pourquoi les gens réduisent-ils le nombre d'enfants ? Les "contraintes économiques" sont le principal obstacle
Source : https://globalnews.ca/news/11234004/fertility-children-families-un-report-reasons/

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