Aller au contenu principal
ukiyo journal - 日本と世界をつなぐ新しいニュースメディア Logo
  • Tous les articles
  • 🗒️ S'inscrire
  • 🔑 Connexion
    • 日本語
    • English
    • 中文
    • Español
    • 한국어
    • Deutsch
    • ภาษาไทย
    • हिंदी
cookie_banner_title

cookie_banner_message Politique de confidentialité cookie_banner_and Politique des cookies cookie_banner_more_info

Paramètres des cookies

cookie_settings_description

essential_cookies

essential_cookies_description

analytics_cookies

analytics_cookies_description

marketing_cookies

marketing_cookies_description

functional_cookies

functional_cookies_description

Quand on a mal, est-ce que "devenir grossier" est une caractéristique ? La science des insultes et des mots

Quand on a mal, est-ce que "devenir grossier" est une caractéristique ? La science des insultes et des mots

2025年12月31日 17:38

Au moment où je me cogne l'orteil contre le coin du lit, avant même que mon cerveau ne traduise cela par "Aïe……", un "Biiiiip" sort de ma bouche.
Bien que ma raison sache que "ce n'est pas poli", mon corps réagit instinctivement——.


Un article publié dans le journal britannique Independent, intitulé "Les humains sont-ils câblés pour 'jurer' ?", réexamine ce phénomène non pas comme une question de politesse, mais comme un mécanisme de survie. Pour aller droit au but, il ne s'agit pas de promouvoir les injures en elles-mêmes. Cependant, en disséquant pourquoi les "mots interdits" sortent facilement lors de moments de douleur ou de choc, du point de vue du cerveau et du système nerveux autonome, on découvre qu'il y a plus de raisons physiques à notre "mauvaise langue" que l'on pourrait le penser. The Independent



1) Les "mots grossiers" sont une "réaction réflexe" qui précède la pensée

Ce qui est intéressant dans l'article de l'Independent, c'est qu'il traite les injures comme étant plus proches d'un "comportement vocal réflexe" que d'un "langage". Tout comme les cris de surprise, les halètements, les rires, les hurlements——les injures peuvent surgir avant même que l'on ne construise consciemment une phrase. The Independent


Les conversations normales sont construites dans le cortex cérébral (le "cerveau pensant"). En revanche, les injures impliquent plus facilement des réseaux cérébraux plus anciens, comme l'amygdale, qui agit comme une alarme émotionnelle, ou les noyaux basaux, qui sont impliqués dans les comportements habituels et automatiques, explique l'article. En conséquence, un signal traverse le tronc cérébral, et la "bouche bouge" avant même de "réfléchir". The Independent


C'est cette rapidité qui est cruciale. La douleur ou le danger arrivent souvent "après réflexion". C'est pourquoi le corps active le système nerveux sympathique au moment du choc, augmentant temporairement le rythme cardiaque, la pression artérielle, l'attention, et contractant les muscles pour se préparer. Les injures s'accompagnent de cette série de réactions en tant que "voix". The Independent



2) Pourquoi pas juste un "cri" mais un "mot interdit" : le "commutateur verbal" qui mobilise le corps

Alors, pourquoi est-il plus facile de sortir des "mots tabous" plutôt que de simplement crier "Ah !" ?
L'Independent décrit comment les injures sont liées à une "expiration explosive" qui utilise fortement le diaphragme et les muscles intercostaux, accompagnée de réactions cutanées (comme la transpiration). En d'autres termes, les injures ne sont pas seulement un événement mental, mais une réaction corporelle impliquant la respiration, les muscles et la circulation. The Independent


L'article mentionne également que des substances analgésiques naturelles comme les β-endorphines et les enképhalines peuvent être libérées via des zones du cerveau impliquées dans la modulation de la douleur (comme la substance grise périaqueducale) et l'hypophyse. En d'autres termes, les mots interdits ne servent pas seulement de "soupape émotionnelle", mais peuvent aussi être un signal pour passer en mode gestion de la douleur et du stress. The Independent



3) "La douleur diminue-t-elle vraiment ?" — C'est sérieusement étudié dans le monde de la recherche

Voici le point qui peut devenir viral sur les réseaux sociaux. Beaucoup se demandent : "Les mots peuvent-ils vraiment changer la douleur ? N'est-ce pas un peu exagéré ?" Pourtant, les recherches s'accumulent de manière inattendue.


Un exemple célèbre est la tâche du "test du plongeur dans l'eau froide", où il a été rapporté que ceux qui répétaient des mots injurieux pouvaient supporter la douleur plus longtemps (Stephens et al., 2009). Une augmentation du rythme cardiaque a également été observée, suggérant une réaction au-delà d'un simple effet placebo. PubMed


De plus, il a été rapporté que les personnes qui jurent fréquemment au quotidien pourraient voir "l'effet" s'affaiblir (l'habitude réduisant le caractère tabou). En d'autres termes, si cela fonctionne, "la stimulation en tant que mot interdit" pourrait être importante. ScienceDirect


Et en résumé des recherches récentes, une mini-revue de 2024 organise le flux de recherche selon lequel les injures peuvent influencer le seuil de douleur, la tolérance et l'évaluation subjective de la douleur. PMC


La question naïve "Alors, un 'nouveau mot injurieux' inventé fonctionnerait-il ?" a été abordée dans une étude de 2020, qui a rapporté que les "pseudo-injures" inventées n'avaient pas le même effet analgésique que les vraies. Le caractère tabou et le poids émotionnel appris semblent être la clé. PMC



4) Pas seulement la douleur : cela pourrait aussi être lié à la récupération du stress (la "rapidité de retour")

Un autre point important de l'article de l'Independent est la perspective selon laquelle les injures pourraient être liées à la "récupération après le stress". Juste après un choc ou une douleur, le corps entre en "mode combat" avec l'adrénaline et le cortisol. Le problème est que si cette excitation persiste, elle peut entraîner des coûts supplémentaires pour le sommeil, l'immunité, le cœur, etc. The Independent


L'article suggère que, bien que les injures augmentent temporairement le stress, elles pourraient accélérer le "retour au calme" par la suite, en se référant à des indicateurs du système nerveux autonome comme la variabilité de la fréquence cardiaque (HRV). The Independent


En termes simples, les injures pourraient être un interrupteur qui "monte et descend" en un seul ensemble.



5) Une question d'évolution : ce n'est pas seulement les humains qui le font

On pourrait penser que les injures varient beaucoup selon les cultures, mais l'article mentionne également les cris aigus des primates dans des situations de douleur ou de menace, où des "vocalisations courtes et fortes" se produisent. En d'autres termes, les cris de détressesont assez universels, et les humains ont ajouté des "mots (tabous)" à cela. The Independent


De ce point de vue, les injures apparaissent non pas comme une "mauvaise habitude vulgaire", mais comme une "ancienne réaction pour traiter la douleur et la surprise par le corps". Bien sûr, dans la société moderne, cela peut causer de gros problèmes selon la situation et l'interlocuteur. C'est pourquoi il est nécessaire de comprendre le mécanisme et de réfléchir à "quand l'utiliser".



Réactions sur les réseaux sociaux (extraits de forums et de publications sur les réseaux sociaux)

Le thème de cette fois-ci est "science x quotidien", donc les réactions sur les réseaux sociaux sont souvent divisées. En gros, les réactions se regroupent en quatre types.


A) Ceux qui disent "Je le ressens. Ça soulage absolument"

Sur les fils de discussion scientifiques de Reddit, dès que le sujet de la recherche est abordé, des "témoignages" affluent. Par exemple, il y a des publications qui disent "sur le terrain des urgences, dès que la douleur (ou le choc) disparaît, la langue devient grossière", renforçant la relation entre les injures et la douleur avec un "sens du terrain". Reddit


B) Ceux qui disent "Pourquoi pas juste 'crier' au lieu de 'jurer' ?"

Toujours sur Reddit, la question "Est-ce que l'effet n'est pas dû à l'ensemble des cris plutôt qu'aux injures ?" est soulevée. En effet, si un fort cri peut changer l'état du corps, la raison de se limiter aux injures semble faible. Reddit


Les chercheurs sont également conscients de ce point, et il reste à débattre si c'est la "nature taboue" des injures qui fonctionne, ou simplement la vocalisation ou la diversion de l'attention.


C) Ceux qui disent "Ils l'ont fait dans MythBusters, non ?"

C'est un classique des sujets scientifiques, mais beaucoup de gens parlent de leurs souvenirs de l'avoir vu dans une émission. Sur Reddit, plusieurs commentaires mentionnent que "MythBusters l'a fait il y a des années". Reddit


Ces réactions apparaissent parce que l'effet des injures "correspond à l'intuition". Quand on a mal, il est naturel que le langage devienne grossier, et tout le monde peut s'y identifier.


D) Ceux qui demandent "Où cela est-il traité dans le cerveau ?" (et correction des fausses informations)

Bien que ce soit un ancien fil de discussion, il y a des explications selon lesquelles les injures sont traitées dans des circuits cérébraux différents des langages normaux (comme dans le cas du syndrome de Tourette). Cependant, des commentaires ajoutent que ce stéréotype est rare, et on peut voir des "corrections" se faire sur les réseaux sociaux. Reddit


Bonus : L'ambiance des réseaux sociaux professionnels

Sur LinkedIn, il est intéressant de voir comment les discussions sur la recherche se transforment en "situations de travail". Par exemple, des blagues comme "Le 'sauce secrète' pour des réunions efficaces est ici" ou des commentaires comme "J'ai coaché des leaders et cela s'explique",

← Retour à la liste d'articles

Contact |  Conditions d'utilisation |  Politique de confidentialité |  Politique des cookies |  Paramètres des cookies

© Copyright ukiyo journal - 日本と世界をつなぐ新しいニュースメディア Tous droits réservés.