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L'impact du projet de méga-barrage en Inde sur le monde : L'avenir de la compétition pour les ressources en eau avec la Chine

L'impact du projet de méga-barrage en Inde sur le monde : L'avenir de la compétition pour les ressources en eau avec la Chine

2025年10月01日 12:27

Introduction──Les tambours résonnent dans les vallées de l'Himalaya

Les montagnes enveloppées de brume et les torrents d'émeraude. Dans les gorges de l'Arunachal, à l'extrême nord-est de l'Inde, les Adi brandissent leurs arcs et flèches en criant : « La rivière est notre nom même. » Le gouvernement prévoit ici un méga-barrage parmi les plus grands du pays. Son nom : le projet polyvalent de Upper Siang (SUMP). L'objectif n'est pas seulement la production d'électricité. C'est une soupape de sécurité contre le projet hydroélectrique « parmi les plus grands du monde » que la Chine développe sur le Yarlung Tsangpo au Tibet, en stockant de l'eau et en se préparant à des lâchers soudains. Cependant, les communautés locales s'opposent fermement, affirmant que « notre mode de vie sera submergé ». Le débat s'élargit pour inclure les questions de pouvoir, de climat, de sécurité et des droits des peuples autochtones, devenant un exemple typique de « politique de l'eau ». International Business Times Australia


Ce qui se passe : Les grandes lignes du SUMP

Selon les rapports, le site proposé est le district de Upper Siang. Le projet prévoit un barrage d'environ 280 m de haut et un immense réservoir d'environ 9,2 milliards de mètres cubes (équivalent à des millions de piscines olympiques), avec une capacité de production d'environ 11 000 à 11 600 MW, ce qui en ferait le plus grand de l'Inde en termes de taille et de capacité. Un représentant de la NHPC, une entreprise publique, explique que « l'objectif principal est la sécurité de l'eau plutôt que la production d'électricité (compensation de la sécheresse et absorption des lâchers soudains) ». Pendant la saison des pluies, le niveau de stockage serait maintenu à environ 2/3 pour permettre d'absorber les lâchers soudains en amont. International Business Times Australia


Pourquoi maintenant : Le projet « super massif » de la Chine en amont

Le déclencheur est le projet chinois en amont. La Chine a annoncé qu'elle allait développer un vaste complexe hydroélectrique comprenant cinq centrales dans le Medog au Tibet (Yarlung Tsangpo, connu sous le nom de Siang en Inde), avec une capacité de production estimée à trois fois celle du barrage des Trois Gorges. En été 2025, les autorités chinoises ont annoncé le début des travaux, déclenchant des débats sur les risques géopolitiques et les impacts environnementaux. Le ministère chinois des Affaires étrangères affirme qu'il n'y aura pas d'impact négatif en aval et qu'il n'y a pas d'intention de militariser l'eau. Al Jazeera


Le gouvernement indien a également exprimé officiellement ses préoccupations au début de l'année. Le Brahmapoutre, une grande rivière de la région, est une ligne de vie pour l'Inde et le Bangladesh, et les grands stockages et lâchers en amont pourraient influencer le timing des inondations et des sécheresses, selon l'intuition des parties en aval. Cependant, sur le plan hydrologique, de nombreuses sections sont fortement influencées par les précipitations et les affluents, et l'évaluation est encore en cours de « vérification scientifique ». Reuters


Voix locales : Villages submergés, noms effacés

Dans les villages du site proposé, les protestations ont éclaté. Les Adi, peuple autochtone, appellent le Siang la « rivière sacrée », et son rythme imprègne l'agriculture, la pêche, les rituels et même les métaphores linguistiques. Les habitants affirment que « le barrage engloutira les villages et coupera la culture elle-même ». En mai, des tentatives de levés ont été bloquées, et des équipements ont été incendiés, augmentant la tension entre les autorités et les résidents. International Business Times Australia


Les reportages photographiques capturent les « tribunaux de rassemblement » des sociétés tribales dans les vallées et les rangées de banderoles de protestation. Ce qui apparaît à l'écran, ce n'est ni la politique ni le développement, mais la relation même avec la rivière gravée au plus profond du cœur. Al Jazeera


La décision de placer une structure massive dans une zone à risque

Les experts soulignent à plusieurs reprises que l'Arunachal est une zone sismique. Les grands barrages comportent des risques complexes tels que les mouvements de sédiments, l'accumulation de sédiments, les séismes induits et la gestion lors de pluies extrêmes. Le changement climatique perturbe à la fois les moussons et la fonte des glaciers, nécessitant une révision constante des valeurs de conception. Ces risques techniques et opérationnels, combinés à un manque de diplomatie et de partage d'informations, peuvent facilement conduire à une méfiance sociale. International Business Times Australia


La logique du « il faut avancer »

Le gouvernement de l'État souligne que c'est une nécessité pour la sécurité nationale en tant que stratégie hydrique contre la Chine. Si les schémas de prélèvement et de lâcher en amont créent des ondes de choc en aval, le SUMP agirait comme un « tampon ». En réalité, l'État d'Assam en aval connaît des inondations annuelles, et la réalisation simultanée de la gestion de l'eau et de la production d'électricité a un fort attrait politique. Cependant, même au sein de l'État, certains dirigeants prônent la prudence en affirmant qu'il n'y a pas de souci immédiat, ce qui divise les opinions. International Business Times Australia


Les options de « diplomatie » et « d'accords »

Les chercheurs opposés soulignent que l'idée de barrage contre barrage est contre-productive. Ce qui est nécessaire, ce n'est pas de rivaliser sur le nombre de barrages, mais de promouvoir le partage transparent des données, les accords de bassin et la gestion conjointe. La prescription de donner la priorité à la diplomatie des bassins hydrographiques contribue à la stabilité à long terme, mais elle est moins susceptible de produire des « résultats visibles » politiques à court terme. Le choix de l'axe de « l'intérêt public » modifie la prescription. International Business Times Australia


Résumé des réactions sur les réseaux sociaux

 


  • Partisans de la gestion de l'eau et de la sécurité : Les publications affirmant qu'une soupape de sécurité est nécessaire pour contrer les barrages chinois, tout en obtenant de l'électricité et en contribuant au développement régional, ont été largement partagées. Les commentaires de soutien ont afflué sur le post de rapport de « revue d'avancement du SUMP » du Premier ministre de l'État, Pema Khandu. X (formerly Twitter)

  • Partisans des droits des autochtones et de l'environnement : Le compte d'une organisation internationale pour les peuples autochtones a rendu visible la « résistance des Adi » au monde entier. L'appel à la grève d'une organisation étudiante locale a également été partagé, et « #SaveSiang » est devenu une tendance locale. X (formerly Twitter)

  • Partisans de l'évaluation équilibrée : Certains médias et experts ont souligné le « compromis entre impact environnemental et atténuation des inondations », mettant en garde contre une politisation précipitée. The Times of India

※ Les résumés ci-dessus sont des extraits de publications publiques, reformulés sous forme de résumés et de citations (courtes).


Une autre réalité : le « bras de fer » entre soutien et opposition

Même au sein de la région, les opinions sont partagées. Par exemple, dans le village de Riga, des mouvements vers un consensus positif ont été rapportés, et les procédures pour une étude préliminaire (PFR) ont progressé. D'autre part, des nouvelles de restrictions de voyage imposées à un célèbre militant anti-barrage ont également émergé, symbolisant la montée des tensions et suscitant des débats. La société n'est pas complètement divisée, mais se fragmente en fonction des villages, des clans et des professions. La réussite des décisions de développement dépend de la manière dont cette « texture » est traitée avec soin. The Economic Times


Perspective comparative : Comment faire face au « super massif » en amont

Le projet dans les gorges tibétaines, de par son échelle géographique, a le potentiel de redéfinir la géopolitique mondiale de l'hydroélectricité. Les écologistes s'inquiètent de la fragmentation des écosystèmes et des changements dans l'accumulation et le déplacement des sédiments, tandis que les chercheurs en politique le décryptent comme une « technopolitique mêlant technologie et politique ». La logique de l'agrandissement, sous couvert de transition énergétique, tend à étouffer les voix périphériques, une structure commune au-delà des frontières. Yale E360


Les enjeux futurs : Trois « transparences »

  1. Transparence des données : Partage des mesures réelles des précipitations, de la fonte des neiges et des lâchers.

  2. Transparence des décisions : Processus et responsabilité depuis le PFR jusqu'à l'évaluation des impacts environnementaux (EIA) et l'accord des résidents (FPIC).

  3. Transparence de l'exploitation : Règles de lâcher en cas de conditions météorologiques extrêmes, timing de publication, fiabilité des communications transfrontalières.

Si ces trois points sont garantis, même si le fossé entre les partisans et les opposants ne se comble pas « complètement », au moins la rationalité de chacun sera plus facile à voir. Que le SUMP progresse ou non, la transparence est le chemin le plus court pour renforcer la résilience du bassin.


Conclusion──Les rivières ne connaissent pas de frontières

Les frontières, les langues, les religions, rien de tout cela ne concerne les rivières. L'eau coule simplement de haut en bas. Mais les humains y superposent électricité, emploi, sécurité et prières. Ce qui est en question dans la vallée de Upper Siang, ce

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