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« Un monde où le remboursement prime sur l'aide : Qui fait des affaires avec la crise de la dette des pays en développement ? »

« Un monde où le remboursement prime sur l'aide : Qui fait des affaires avec la crise de la dette des pays en développement ? »

2025年12月22日 00:23

1) “Ce qui reste après une inondation, c'est la facture”——La crise climatique accélère la crise de la dette

Sécheresses, inondations, cyclones. Plus les catastrophes climatiques frappent fréquemment un pays, plus les coûts de rétablissement, les subventions alimentaires et énergétiques, et la réorganisation des systèmes de santé augmentent. Pendant ce temps, le remboursement de la dette libellée en devises étrangères n'attend pas. Si la monnaie nationale se déprécie, le fardeau du remboursement en dollars augmente en termes de monnaie locale. Cela crée un cycle de "catastrophe→détérioration des finances publiques→emprunts supplémentaires→augmentation du fardeau du remboursement→report des investissements publics". The Independent


La Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) souligne que les paiements d'intérêts des pays en développement augmentent rapidement, environ 3,4 milliards de personnes vivent dans des pays où "les paiements d'intérêts dépassent les dépenses de santé et d'éducation". La réduction des investissements futurs pour rembourser la dette est clairement visible dans les statistiques. UN Trade and Development (UNCTAD)


2) Qui profite et qui est lésé——L'argent privé récolte les "dividendes de la crise"

Une nouvelle analyse de Christian Aid et Debt Justice, obtenue par le journal britannique The Independent, indique que les créanciers pourraient réaliser un bénéfice total de 60 milliards de dollars sur les obligations des pays en crise de la dette. Les 15 pays concernés sont ceux où la pression de la dette est forte, et les fonds gérés par BlackRock pourraient atteindre environ 2,1 milliards de dollars, Goldman Sachs environ 0,9 milliard de dollars, et JP Morgan environ 0,7 milliard de dollars, selon les estimations. The Independent


Il est important de noter que ce ne sont pas seulement les banques prêteuses qui récupèrent directement. L'analyse se concentre sur les fonds gérés par des sociétés de gestion d'actifs, derrière lesquels se trouvent des "fonds des clients" tels que les pensions et les investisseurs individuels. BlackRock déclare : "Nous investissons principalement l'argent de personnes ordinaires qui épargnent pour leur retraite, et nous agissons dans leur meilleur intérêt en tant que fiduciaires." The Independent


Cependant, Debt Justice rétorque que "si la responsabilité fiduciaire empêche les réductions volontaires, il est d'autant plus nécessaire de soutenir une réforme législative qui applique la même règle à tous les créanciers privés". En d'autres termes, ils plaident pour que le système élimine la structure permettant le "free-riding". The Independent


3) Le mythe du "plus grand prêteur, c'est la Chine"——La réalité des remboursements

Lorsqu'il est question de problèmes de dette, on entend souvent que "la Chine a trop prêté". Cependant, Debt Justice, en se basant sur les données de la Banque mondiale, indique que parmi les 88 pays à revenu faible à intermédiaire, la part des remboursements de la dette extérieure entre 2020 et 2025 est de **39% pour le secteur privé (hors Chine) et de 13% pour la Chine**. De plus, pendant la période de la pandémie (2020-2021), la Chine a proposé un moratoire sur les remboursements, tandis que le secteur privé a été réticent à accorder un tel moratoire, ce qui a entraîné la poursuite des paiements envers le secteur privé. Debt Justice


Le journal The Independent présente également la structure de détention de la dette des pays en développement comme suit : **39% pour le secteur privé, 34% pour les institutions multilatérales telles que la Banque mondiale et le FMI, 13% pour la Chine, et 14% pour d'autres gouvernements**. Plus le débat est simplifié, moins la présence de la dette privée est visible. The Independent


4) “Que pourrait-on faire avec la même somme?”——Les remboursements qui dévorent les mesures climatiques

Un moment symbolique est lorsque le montant des remboursements et les estimations des mesures climatiques sont "quasiment équivalents". Le rapport de Christian Aid souligne que le Nigeria devrait payer 13 milliards de dollars aux créanciers privés étrangers entre 2025 et 2030, un montant qui correspond aux investissements nécessaires pour sa stratégie climatique. Christian Aid


De plus, le rapport indique que BlackRock et ses clients pourraient obtenir un rendement moyen supérieur de 64% sur leurs investissements dans les 15 pays en stress de dette, avec des estimations de taux de profit par pays pour des obligations en Angola, Égypte, Nigeria, Kenya, etc. Bien que ces estimations reposent sur certaines hypothèses, la direction causale "plus les remboursements sont prioritaires, plus les investissements dans les mesures sont retardés" correspond souvent à la réalité sur le terrain. Christian Aid


5) Pourquoi le soulagement de la dette n'avance-t-il pas?——Dysfonctionnements institutionnels et "carte des litiges"

Le "Cadre commun" du G20 est une structure pour le soulagement de la dette. Cependant, selon les rapports, parmi les quatre pays ayant fait une demande, aucun n'a vu son principal de dette "effacé", et les charges de paiement restent élevées. The Independent


Lorsque des créanciers privés sont impliqués, les négociations deviennent souvent plus difficiles. Si un créancier réticent brandit la menace d'un procès, le gouvernement peut être tenté de payer d'abord ceux qui sont prêts à s'entendre pour gagner du temps. The Independent cite l'exemple du Tchad, où Glencore a été critiqué pour avoir entravé les négociations (le post sur les réseaux sociaux est lié dans le texte principal). The Independent


Le PDG de Christian Aid mentionne également le cas du Soudan du Sud, poursuivi par des créanciers privés devant la Haute Cour britannique, soulignant la distorsion où "les pays en première ligne voient leurs ressources s'évaporer". Christian Aid


6) Pourquoi Londres est-elle au centre de l'attention?——La législation britannique et les règles des créanciers privés

Ce problème est lié à la politique britannique car de nombreux contrats d'obligations internationales sont régis par le **droit anglais (ou le droit de New York)**. Debt Justice, dans un autre cas (obligations zambiennes), a constaté que la majorité des contrats d'obligations internationales sont régis par le droit anglais ou de New York. Debt Justice


Le rapport de Christian Aid et Debt Justice souligne que de nombreux créanciers privés opèrent sous le droit britannique, et plaide pour que le Royaume-Uni adopte le "Debt Relief (Developing Countries) Bill" afin d'encourager la participation des créanciers privés et de libérer les ressources des pays en crise. Christian Aid


7) Réactions sur les réseaux sociaux——Les points de divergence au-delà de l' "éthique"

Les points de débat se divisent en trois grandes catégories sur les réseaux sociaux (※ les "points d'observation" ci-dessous sont basés sur certains posts publics et ne représentent pas l'ensemble).


(1) La colère de "ne pas profiter de la crise" (type dénonciation)
Debt Justice a précédemment appelé à un "blast sur les réseaux sociaux" sur Instagram et X, en prenant l'exemple des obligations zambiennes, affirmant que "BlackRock pourrait réaliser jusqu'à 110% de profit". Les messages sont liés à la réduction des services sociaux tels que la santé et l'éducation, avec un cadrage moral fort disant "ce n'est pas juste". Debt Justice


(2) Visualiser "climat×dette" en chiffres (type partage et explication)
Sur LinkedIn, un post se répand indiquant que le Kenya devrait payer environ 7 milliards de dollars aux créanciers privés étrangers d'ici 2030, une somme comparable à l'investissement dans les énergies renouvelables (électrification des ménages ruraux). Le post, avec son texte court, montre "ce que l'on pourrait faire avec la même somme", ce qui le rend facile à partager. LinkedIn


(3) "Sans changement de système, cela se répétera" (type politique/sceptique)
Dans les commentaires, on trouve des scepticismes envers le modèle d'aide, comme "l'aide peut renforcer une classe intermédiaire corrompue sur place et fausser le développement social", ainsi que des propositions sur la manière de mobiliser le capital privé. Le débat ne s'arrête pas à "les investisseurs sont mauvais", mais se tourne vers la transparence des flux financiers, la capacité de mise en œuvre locale, et la gouvernance. LinkedIn


8) Quels seront les prochains points focaux?——Pas seulement "réduction", mais aussi "règles" et "ressources"

Les points de débat sont en deux volets. Premièrement, comment garantir l'efficacité du soulagement de la dette. Tant que les créanciers privés ne participent pas "volontairement", des systèmes comme le cadre commun risquent de tourner à vide. Deuxièmement, comment créer de "nouvelles ressources" pour le financement climatique. Le rapport de Christian Aid plaide pour des sources de financement incluant des taxes sur les bénéfices exceptionnels et les transactions financières, ainsi que pour un cadre législatif impliquant les créanciers privés. Christian Aid


Comme le montrent les statistiques, dans de nombreux pays, "les paiements d'intérêts dépassent déjà les dépenses de santé et d'éducation". Si des catastrophes climatiques s'ajoutent à cela, les finances publiques pourraient subir un coup presque "irréversible". La dette était censée être un moyen de croissance. Mais

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