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Toyota et Suzuki ne sont pas les seuls — Pourquoi l'argent des investissements japonais se dirige vers l'Inde

Toyota et Suzuki ne sont pas les seuls — Pourquoi l'argent des investissements japonais se dirige vers l'Inde

2025年12月19日 12:58

Les entreprises japonaises se précipitent vers l'Inde——Après la stratégie "Chine +1", cap sur la "croissance principale"

Ces dernières années, la présence de l'Inde dans la stratégie internationale des entreprises japonaises s'est considérablement renforcée. Le point de départ était la stratégie "Chine +1" (diversification des risques), mais ce qui se passe actuellement va au-delà.Avec une population jeune, une demande intérieure en expansion et des politiques favorisant l'investissement étranger, l'Inde est en train de passer du statut de "base alternative" à celui de "croissance principale à long terme".


Plusieurs éléments viennent étayer cette tendance. Par exemple, en ce qui concerne les flux d'investissements étrangers du Japon, les investissements directs japonais en Chine (sur une base BOP) sont passés d'environ 13 milliards de dollars en 2012 à environ 3 milliards de dollars en 2023, tandis que les investissements en Inde ont atteint environ 6 milliards de dollars en 2023, dépassant ceux en Chine, selon certains rapports.ETGovernment.com


De plus, le nombre d'entreprises japonaises opérant en Inde est en augmentation, avec 1 441 entreprises enregistrées et 5 102 sites (bureaux), selon les chiffres présentés.The Economic Times


Pourquoi l'Inde : Les "facteurs internes" du Japon poussent à l'expansion

L'attrait de l'Inde ne réside pas seulement dans la taille du marché ou le taux de croissance. Les changements démographiques au Japon (vieillissement de la population et pénurie de main-d'œuvre) ainsi que le retard dans la numérisation des entreprises poussent à chercher des opportunités à l'étranger.


Dans un rapport d'événement qui a organisé les activités des entreprises japonaises en Inde, il est indiqué qu'environ 1 400 entreprises japonaises opèrent en Inde avec environ 4 900 sites, et que environ 70% des entreprises sont rentables, avec plus de 75% prévoyant une expansion future. Un point d'intérêt est que le taux de rotation du personnel (mobilité des talents) est devenu une préoccupation plus importante que le niveau salarial lui-même.Ministère de l'Économie, du Commerce et de l'Industrie


"Il est facile d'embaucher, mais difficile de retenir" —— ce "phénomène typiquement indien" devient le prochain axe de compétition.


Pas seulement la fabrication : Immobilier, finance et GCC (centres de développement) se multiplient

La caractéristique de cette fois-ci est l'ampleur de l'expansion. En plus des investissements dans les usines (sites de fabrication), des mouvements se produisent dans les domaines suivants :


1) Immobilier : Rendements élevés et loyers en hausse

Reuters souligne que les grandes entreprises immobilières japonaises intensifient leurs investissements en Inde en raison de la hausse des loyers, le coût de construction relativement bas et les fortes attentes de croissance. Des exemples concrets incluent le projet de Mitsui Fudosan à Bangalore et l'engagement majeur de Sumitomo. De plus, le retour sur investissement en Inde (6-7%) dépasse celui du Japon (2-4%), bien que des difficultés telles que l'acquisition de terrains et les retards de construction soient également signalées.Reuters


2) GCC : La "véritable priorité discrète" des entreprises japonaises est "Talents × DX"

Ce qui s'accélère en Inde, ce sont les GCC (Global Capability Center : centres mondiaux d'opérations et de développement). Selon les rapports, il y aurait environ 85 centres GCC japonais en Inde, employant environ 180 000 personnes, avec une prévision d'atteindre 150 centres et environ 350 000 employés d'ici 2028, avec un investissement annuel de 2,5 milliards de dollars.The Times of India
La capacité à sécuriser non seulement des coûts de main-d'œuvre, mais aussi des équipes d'exécution pour le développement 24h/24, l'IA/le cloud et la transformation des opérations est un atout majeur.


3) Automobile : Faire de l'Inde un hub d'exportation (y compris EV/hybride)

Dans les récits de l'industrie diffusés sur LinkedIn, il est résumé que Toyota, Honda et Suzuki prévoient des investissements de l'ordre de 11 milliards de dollars, positionnant l'Inde comme un nouveau centre de production et d'exportation.LinkedIn


(Sur les réseaux sociaux, le discours "L'Inde comme le prochain hub" est fort, et le contexte de l'investissement se déplace de "remplacement de la Chine" à "centre d'un marché en croissance".)


Vent favorable du côté indien : Politiques, systèmes et "Make in India"

Les politiques de renforcement du secteur manufacturier du gouvernement indien sont également un vent favorable. Par exemple, concernant le PLI (Production-Linked Incentive), un cadre offrant des incitations de 4 à 6% sur les ventes incrémentales dans 14 secteurs, ainsi que les progrès des entreprises bénéficiaires, des investissements et de l'emploi sont rapportés.The Economic Times


De plus, dans la déclaration conjointe du "Forum des leaders d'affaires Japon-Inde" du Keidanren, l'objectif d'investissement et de prêt public-privé de 5 000 milliards de yens convenu entre les dirigeants, ainsi que l'expansion des échanges de talents (y compris l'amélioration des environnements d'accueil mutuels) sont clairement mentionnés.Keidanren


Dans le domaine des semi-conducteurs également, il a été rapporté que le Japon renforce son engagement dans le développement de l'écosystème et la formation des talents en Inde.The Economic Times


Cependant, ce n'est pas seulement de l'enthousiasme : les "difficultés de l'Inde" auxquelles les entreprises japonaises sont confrontées

Sur les réseaux sociaux, bien que de nombreuses réactions positives soulignent que "le Japon commence sérieusement à miser sur l'Inde", des points de vue plus nuancés sont également souvent discutés.

  • Retards de projet : Dans le contexte du développement immobilier, les risques liés à l'acquisition de terrains, aux procédures et aux délais de construction sont soulignés.Reuters

  • Rétention des talents : Le taux de rotation du personnel est un défi plus important que les salaires, en particulier dans le contexte de l'expansion des GCC.Ministère de l'Économie, du Commerce et de l'Industrie

  • Les pièges de l'expansion "à tout prix" : Parce que les systèmes et les marchés se développent, une sélection négligente des partenaires, la conformité et la gestion des fournisseurs peuvent transformer l'expansion en un risque accru.


En fin de compte, la conquête de l'Inde est plus difficile en termes de "rétention" que d'"entrée". Avec le vent favorable des infrastructures et des politiques, c'est maintenant que les pratiques de gestion locale (recrutement, formation, qualité, gouvernance) feront la différence.


Réactions sur les réseaux sociaux : Les points centraux sont "automobile", "talents" et "FOMO"

En ce qui concerne ce thème, les réactions sur les réseaux sociaux (principalement LinkedIn) peuvent être classées en trois grandes catégories.

  1. La vision selon laquelle "l'automobile mène la danse"
    De nombreux posts et partages soulignent que "Toyota, Honda et Suzuki transforment l'Inde en hub d'exportation", avec un accent sur les montants d'investissement et la transformation en hub d'exportation.LinkedIn

  2. La relation complémentaire entre "le Japon en manque de main-d'œuvre × l'Inde jeune"
    Dans le contexte des contraintes de main-d'œuvre au Japon, des posts évaluant le vivier de talents en Inde se propagent. Il est courant de voir des chiffres sur le nombre de GCC et l'échelle de l'emploi.LinkedIn

  3. L'air de "peur de manquer" (FOMO)
    Les discours tels que "les délégations japonaises sont désormais de niveau C-suite" et "si nous n'y allons pas maintenant, nous perdrons des opportunités" se multiplient (concernant la concurrence pour les investissements et la rareté des partenaires de qualité).The Economic Times

Ces réactions montrent que l'Inde n'est plus simplement "une option parmi d'autres", mais devient un sujet incontournable dans la stratégie des entreprises.


Prochain point focal : Les caractéristiques communes des entreprises qui réussissent en Inde

Enfin, voici quelques points clés pour que les entreprises japonaises puissent "croître sans s'effondrer" en Inde.

  • Transformer les partenaires locaux en "co-concepteurs" plutôt qu'en "agents de vente" (en intégrant les réalités de la réglementation, de l'approvisionnement et des talents)

  • Intégrer la rétention des talents dans les plans d'investissement (le coût de départ est plus lourd que le coût d'embauche)Ministère de l'Économie, du Commerce et de l'Industrie

  • Concevoir "qualité, audit et traçabilité" en vue de l'exportation vers des pays tiers (dans le contexte de "Make in India for the World")Keidanren##HTML_TAG

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