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Pourquoi Trump souhaite-t-il reprendre les essais nucléaires ? Explorer le contexte de la rupture d'un silence de 30 ans : Lire la "reprise des essais nucléaires" à travers trois scénarios

Pourquoi Trump souhaite-t-il reprendre les essais nucléaires ? Explorer le contexte de la rupture d'un silence de 30 ans : Lire la "reprise des essais nucléaires" à travers trois scénarios

2025年11月01日 00:40

« Reprise des essais nucléaires après 30 ans » — Un nouveau mot d'ordre : « mêmes conditions »

Les 29 et 30 octobre 2025 (heure du Japon), le président américain Donald Trump a annoncé sur son propre réseau social (Truth Social) qu'il avait ordonné la reprise « immédiate » des « tests » d'armes nucléaires des États-Unis. Le dernier essai nucléaire des États-Unis remonte à 1992. Cette déclaration, qui suggère un changement de politique après 33 ans, a été faite juste avant une rencontre avec le président chinois Xi Jinping à Busan, provoquant une agitation dans les médias mondiaux et sur les réseaux sociaux. L'argument de Trump est simple : « Puisque la Russie et la Chine le font, les États-Unis devraient le faire sur une base égale (on an equal basis) ». Toutefois, la question demeure : ces « tests » concernent-ils des essais d'explosion de têtes nucléaires ou des essais de vol de moyens de transport ? C'est là que réside la plus grande incertitude.Reuters


Pourquoi « maintenant » : la démonstration de la « nouvelle génération » de la Russie et le renforcement de la Chine

Ces dernières semaines, la Russie a annoncé avoir testé des armes « potentiellement nucléaires » telles que le missile de croisière à propulsion nucléaire « Burevestnik » et le drone sous-marin à propulsion nucléaire « Poséidon ». La Chine a doublé son nombre d'ogives nucléaires au cours des cinq dernières années, et les États-Unis estiment qu'elle en possédera plus de 1 000 d'ici 2030. La déclaration de Trump sur la reprise « immédiate » des essais est perçue comme une démonstration de force face à ces développements. Cependant, le Kremlin a réagi prudemment en déclarant : « Nous n'avons pas mené d'essais d'explosion nucléaire ».Reuters


Le contenu des « tests » : essais d'explosion ou essais de vol ?

Si par « essais d'explosion nucléaire », on entend des essais, ceux-ci seraient généralement menés par la National Nuclear Security Administration (NNSA) sous la tutelle du Département de l'Énergie, et non par le Département de la Défense. Les États-Unis ont signé le Traité d'interdiction complète des essais nucléaires (TICE) en 1996, mais ne l'ont pas ratifié. Cependant, les pays ont continué à évaluer la fiabilité de leurs arsenaux par des essais subcritiques et des simulations avancées sans explosion nucléaire. Il n'est pas clair si la déclaration de Trump se réfère à des essais d'explosion ou à des essais de moyens de transport tels que des missiles ou des sous-marins, ce qui suscite des vagues dans les sphères politique, technique et diplomatique.AP News


Les obstacles pratiques : au moins « quelques années » de préparation et des coûts croissants

Pour reprendre les essais nucléaires souterrains au « Nevada National Security Site » (anciennement le site d'essais nucléaires du Nevada), il faudrait reconstruire une infrastructure massive, y compris la réhabilitation des tunnels, la restauration des systèmes de mesure et le redéploiement de personnel qualifié. Daryl Kimball de l'Arms Control Association a déclaré sur les réseaux sociaux qu'il faudrait au moins 36 mois pour revenir à des « essais de confinement souterrains ». L'AP, citant des documents de recherche de Los Alamos de 2018, a également estimé que même pour des mesures simples, il faudrait 2 à 4 ans, et 24 à 36 mois pour des mesures complètes. Le Washington Post a également rapporté la complexité des aspects pratiques, humains et financiers.Reuters


Impact sur l'ordre international : avertissements immédiats du CTBTO et de l'ONU

Le CTBTO (Organisation du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires) à Vienne a lancé un avertissement fort en déclarant que « tout essai d'explosion nucléaire par n'importe quel pays compromet le régime de non-prolifération et la paix et la sécurité internationales ». Le porte-parole du Secrétaire général de l'ONU a également réaffirmé que « les essais nucléaires ne sont acceptables en aucune circonstance ». Le CTBTO a souligné que son réseau mondial de surveillance est capable de détecter de tels essais partout dans le monde.Reuters


Réactions de la Chine et de la Russie : demande de respect du moratoire et mise en garde

Le ministère chinois des Affaires étrangères a officiellement demandé aux États-Unis de respecter le moratoire et de maintenir la stabilité stratégique. La Russie a réitéré sa position selon laquelle « si les États-Unis commencent des essais nucléaires, nous en ferons de même », tout en soulignant le « manque de spécificité » des déclarations américaines. Ces échanges pourraient fissurer la norme de « suspension de facto des essais nucléaires » maintenue depuis les années 1990.Reuters


Les « partisans » et les « opposants » aux États-Unis

Les principaux défenseurs de la reprise des essais sont au cœur de l'administration. Le vice-président JD Vance affirme que les tests sont essentiels pour garantir la « fiabilité fonctionnelle ». En revanche, au Congrès, le sénateur Ed Markey a annoncé son intention de présenter un projet de loi pour empêcher le financement de la reprise des essais. La représentante Dina Titus du Nevada a également suggéré sur les réseaux sociaux qu'elle présenterait un projet de loi pour bloquer cette initiative, indiquant que la bataille politique a déjà commencé.Reuters


Réactions sur les réseaux sociaux : voix des experts, des organisations internationales et des communautés locales

 


  • Daryl Kimball (Arms Control Association)
    « Les États-Unis n'ont aucune raison technique, militaire ou politique. La reprise des essais prendrait au moins 36 mois et pourrait déclencher une chaîne d'essais en réponse » (extrait d'un post sur X).X (formerly Twitter)

  • CTBTO (Robert Floyd, Secrétaire exécutif)
    « Tout essai d'explosion nucléaire est nuisible et déstabilisant. Le réseau de surveillance international peut détecter n'importe où sur Terre » — Déclaration officielle et communication sur les réseaux sociaux.ctbto.org

  • Dina Titus, représentante (Nevada)
    « Je vais présenter un projet de loi pour arrêter cela » (X). Les médias locaux et internationaux diffusent largement cette déclaration.CNA

  • Arguments des partisans (administration et conservateurs)
    « S'adapter aux avancées de la Chine et de la Russie pour la dissuasion sur une base égale », « Vérification de la fiabilité face aux préoccupations de vieillissement » — Bien que cette ligne de pensée suscite des réactions positives, il y a des divergences sur la question de savoir si cela inclut les « essais d'explosion ».Reuters


Anticipation du « marché » et de la « sécurité » : trois scénarios

  1. Pas d'essais d'explosion, mais une « interprétation élargie »
    Si les essais sont limités à des essais de vol, des simulations et des essais subcritiques, les risques diplomatiques restent relativement limités. Cependant, les subtilités de langage peuvent maintenir les frictions internationales.Reuters

  2. Retour limité aux essais d'explosion souterrains
    Cela prendrait des années à mettre en œuvre, avec des obstacles politiques, juridiques et régionaux élevés aux États-Unis. Si cela se produit, il y a un risque de propagation à la Chine, à la Russie, à l'Inde, au Pakistan et à la Corée du Nord.AP News

  3. Carte de « renégociation » du contrôle global des armements
    Utiliser des déclarations fermes comme levier de négociation pour guider vers une gestion multilatérale des quantités et une réaffirmation du moratoire sur les essais n'est pas impossible. Cependant, cette « course au bluff » comporte des risques considérables.Reuters


Point de vue des sources : InfoMoney interprète le « pourquoi ? »

Le média brésilien InfoMoney explore le thème « Pourquoi Trump veut-il reprendre les essais nucléaires après plus de 30 ans ? », identifiant la démonstration d'armes « potentiellement nucléaires » par la Russie et l'expansion rapide des capacités nucléaires de la Chine comme des facteurs externes déterminants. Les facteurs politiques internes aux États-Unis (carte de négociation avec la Chine, démonstration de dissuasion contre la Russie) sont également pris en compte. La réaction internationale et l'augmentation des tensions géopolitiques sont inévitables, selon une analyse posée.infomoney.com.br


Conclusion : l'« ampleur » des mots et le « poids » des pratiques

L'expression « commencer les tests » est souvent interprétée de manière « maximale » dans les dimensions diplomatique, intérieure et technique. Cependant, les pratiques sont lourdes et lentes. Même pour une simple « mesure d'efficacité », cela prendrait des années, et encore plus pour des mesures complètes — pendant ce temps, les normes internationales s'érodent et les « préparations » des pays voisins progressent. Par conséquent, le véritable enjeu est de savoir si l'on peut redéfinir clairement « quoi », « jusqu'où » et « d'ici quand » faire, et en même temps se reconnecter aux règles multilatérales de dissuasion.AP News


Articles de référence

Pourquoi Trump veut-il reprendre les essais nucléaires après plus de 30 ans ? Comprendre le contexte
Source : https://www.infomoney.com.br/mundo/por-que-trump-quer-retomar-testes-nucleares-apos-mais-de-30-anos-entenda/

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