Aller au contenu principal
ukiyo journal - 日本と世界をつなぐ新しいニュースメディア Logo
  • Tous les articles
  • 🗒️ S'inscrire
  • 🔑 Connexion
    • 日本語
    • English
    • 中文
    • Español
    • 한국어
    • Deutsch
    • ภาษาไทย
    • हिंदी
cookie_banner_title

cookie_banner_message Politique de confidentialité cookie_banner_and Politique des cookies cookie_banner_more_info

Paramètres des cookies

cookie_settings_description

essential_cookies

essential_cookies_description

analytics_cookies

analytics_cookies_description

marketing_cookies

marketing_cookies_description

functional_cookies

functional_cookies_description

La connexion entre l'homme et la nature a diminué de 60 % en 200 ans : les villes peuvent-elles être "verdies" dix fois plus ? La science des relations avec la nature à transmettre entre parents et enfants

La connexion entre l'homme et la nature a diminué de 60 % en 200 ans : les villes peuvent-elles être "verdies" dix fois plus ? La science des relations avec la nature à transmettre entre parents et enfants

2025年08月11日 11:27

1) Une descente de 200 ans : les chiffres racontent l'« extinction de l'expérience »

« À quel point sommes-nous connectés à la nature ? » À cette question apparemment vague, une étude récente a répondu avec des chiffres concrets. Le professeur Richardson de l'Université de Derby au Royaume-Uni a utilisé un modèle basé sur des agents (ABM) intégrant l'urbanisation croissante, la dégradation de la biodiversité locale et la difficulté croissante de transmettre l'orientation vers la nature de « parent à enfant » pour recréer la trajectoire de la « connexion avec la nature » de 1800 à nos jours. Le résultat a montré une « diminution d'environ 60 % ». La fréquence des mots liés à la nature dans les livres suit la même courbe, avec une baisse de 60,6 % en 1990 (actuellement en voie de remonter à 52,4 %).The Guardian


2) La « connexion » n'est pas une question de sentiment : elle est déterminée par les parents et la structure urbaine

L'essentiel de cette étude est qu'elle traite le concept psychologique de « connexion à la nature » comme un écosystème socio-écologique, alimenté par la quantité de verdure urbaine (opportunité), l'orientation des individus à prêter attention et à s'attacher à la nature, et la « transmission » intergénérationnelle. Le modèle décrit un retour négatif où l'urbanisation réduit les « opportunités » et où l'incapacité des parents à transmettre leur orientation vers la nature abaisse les valeurs initiales des générations suivantes.MDPI


3) 30 % ne suffisent pas : ce qu'il faut, c'est dix fois plus de verdure

« Augmenter le nombre de parcs résoudrait-il le problème ? » La réponse serait probablement « insuffisant ». L'analyse de sensibilité de l'équipe de recherche montre qu'une augmentation de « 30 % » des espaces verts riches en biodiversité urbaine ne suffit pas à inverser la tendance. Ce qu'il faut, c'est une échelle « dix fois plus grande ». En d'autres termes, il ne s'agit pas de parcs ponctuels, mais de transformer toute la ville en une « infrastructure verte ». L'étude suggère également que si l'éducation et l'urbanisme peuvent être transformés dans les 25 prochaines années, la « connexion » qui entre dans un mode de récupération pourrait s'auto-renforcer.The Guardian


4) 4 minutes et 36 secondes par jour : ce que la « norme » moderne entraîne

Le Guardian a rapporté que le temps moyen passé par les gens dans des espaces naturels à Sheffield, au Royaume-Uni, est de seulement « 4 minutes et 36 secondes par jour ». La routine quotidienne de la navette, des espaces intérieurs et des smartphones réduit le « dénominateur » des expériences naturelles, amplifiant la rupture intergénérationnelle. Cela pose un problème de « conception structurelle de la vie » qui affecte la santé mentale et les comportements écologiques.The Guardian


5) Réactions sur les réseaux sociaux : espoir, inquiétude et pratique se croisent

Cette nouvelle a suscité des débats sur les réseaux sociaux. Dans les communautés environnementales, de nombreuses voix ont exprimé leur sympathie pour l'idée que « la normalisation de la vie urbaine érode l'expérience de la nature », tandis que des questions simples comme « comment quantifier la ‘connexion’ ? » ont également émergé. Sur un fil Reddit, des éducateurs en plein air ont partagé leur expérience : « Les enfants qui ont peur de la terre et des insectes changent avec l'expérience. Les parents peuvent réparer cela en les emmenant dehors. » Voici quelques extraits (paraphrasés et résumés).

« Cette étude intègre des éléments d'urbanisation et de transmission intergénérationnelle. Intéressant mais semble subjectif. »(Question sur la méthode de mesure)
« Les collégiens ont peur de la terre. Mais à la fin de l'année, ils changent. Parents, emmenez vos enfants en camp. »(Voix du terrain)
« Pas surpris par le travail en intérieur. Pas de temps pour sortir. »(Problème de structure de vie)
(Source : fil correspondant sur r/collapse. Voir le lien pour le post complet)Reddit


6) Les « événements » ne suffisent pas à ramener la connexion : que faut-il concevoir ?

Les campagnes de courte durée pour l'expérience de la nature (par exemple, #30DaysWild) contribuent à améliorer le bien-être mental, mais leur capacité à stopper la rupture intergénérationnelle est limitée. Ce qui fonctionne, c'est « précoce et répétitif ». Il s'agit de concevoir des expériences naturelles « quotidiennes » intégrées dans le curriculum dès la petite enfance et l'école primaire, avec la participation des parents, et de les ramener à la maison comme des devoirs. La recherche en psychologie montre que plus que la connaissance, ce sont le « contact », les « émotions », le « sens », la « compassion » et la « perception de la beauté » qui sont les principales voies pour renforcer la « connexion ». Les matériaux pédagogiques devraient se concentrer sur des expériences sensorielles plutôt que sur des exercices de mémorisation.The GuardianPLOS


7) Traduire la planification urbaine : rendre le « dix fois plus » réaliste

Le « dix fois plus » peut sembler exagéré, mais en écologie urbaine, l'idée de traiter simultanément tous les espaces publics et semi-publics, tels que les arbres de rue, les cours d'école, les parkings, les toits, les balcons, les retraits et les bords de rivière, comme un « réseau naturel » devient de plus en plus courante. Par exemple, la règle de « 3-30-300 » — voir trois arbres depuis chez soi, un taux de canopée de 30 % dans le quartier, un parc à moins de 300 mètres — a été validée pour sa pertinence en termes de santé et de résilience des résidents.MDPI


8) Implications pour le Japon : « conception familiale » et « redistribution urbaine »

Dans la société hyper-urbanisée du Japon, les déplacements quotidiens et le travail en intérieur créent facilement des jours de « zéro nature ». Les contre-mesures sont à deux niveaux.
(1)Famille × École : devoirs « dehors » une fois par semaine, programmes de type « école maternelle forestière » dans les crèches, observations de la nature en famille en collaboration avec les associations de parents d'élèves.
(2)Redistribution urbaine : verdissement et biotope des cours d'école, bandes arborées le long des chemins scolaires, standardisation des jardins sur les toits, restauration des corridors pour la faune et la flore le long des rivières et des canaux, obligation de perméabilisation et de plantation en bordure des parkings.


Il ne s'agit pas d'« événements », mais de réécrire le système d'exploitation de la vie quotidienne.


9) Enfin : les mots commencent à revenir

Il y a aussi de bonnes nouvelles. La fréquence d'apparition des mots liés à la nature montre une légère tendance à la hausse ces dernières années, ce qui pourrait indiquer un « retour de la sensibilité » du côté culturel. Ce qui est crucial, c'est de faire le pont entre le retour des mots et celui des expériences. La clé est de savoir si les parents peuvent offrir à leurs enfants, et les villes à leurs habitants, des occasions de prêter attention à la nature comme une « routine quotidienne ».The Guardian


Articles de référence

« La connexion humaine avec la nature a diminué de 60 % en 200 ans », révèle une étude
Source : https://www.infomoney.com.br/mundo/conexao-humana-com-natureza-caiu-60-em-200-anos-diz-estudo/

Powered by Froala Editor

← Retour à la liste d'articles

Contact |  Conditions d'utilisation |  Politique de confidentialité |  Politique des cookies |  Paramètres des cookies

© Copyright ukiyo journal - 日本と世界をつなぐ新しいニュースメディア Tous droits réservés.