Aller au contenu principal
ukiyo journal - 日本と世界をつなぐ新しいニュースメディア Logo
  • Tous les articles
  • 🗒️ S'inscrire
  • 🔑 Connexion
    • 日本語
    • English
    • 中文
    • Español
    • 한국어
    • Deutsch
    • ภาษาไทย
    • हिंदी
cookie_banner_title

cookie_banner_message Politique de confidentialité cookie_banner_and Politique des cookies cookie_banner_more_info

Paramètres des cookies

cookie_settings_description

essential_cookies

essential_cookies_description

analytics_cookies

analytics_cookies_description

marketing_cookies

marketing_cookies_description

functional_cookies

functional_cookies_description

Le marché illégal des prescriptions en pleine expansion sur les réseaux sociaux : la "pharmacie de l'ombre" qui se développe sur les réseaux sociaux — Le prix de la commodité est la confiance dans le système de santé.

Le marché illégal des prescriptions en pleine expansion sur les réseaux sociaux : la "pharmacie de l'ombre" qui se développe sur les réseaux sociaux — Le prix de la commodité est la confiance dans le système de santé.

2025年08月18日 00:46

Quand le "reçu (ordonnance)" devient un "produit" —— Un marché noir invisible se développe sur les réseaux sociaux

Le 16 août 2025, le média économique brésilien InfoMoney a rapporté que des ordonnances, des certificats médicaux et même des médicaments étaient achetés et vendus presque ouvertement sur les réseaux sociaux. Le principal champ de vente est constitué par les applications de messagerie et les grandes plateformes de réseaux sociaux, où la mise en vente, l'achat, le paiement et la livraison se font entièrement en ligne. Ce "marché noir" automatisé et anonyme échappe facilement à la surveillance des autorités médicales et réglementaires.InfoMoney


Mécanisme : Un "marché" alimenté par des bots et des faux comptes

Le cœur de la vente illégale repose sur des groupes fermés et des bots. Des comptes sous de faux noms et des bots à réponse automatique organisent les étapes d'achat, de paiement et de livraison (sous forme de PDF, d'images ou de documents papier), permettant aux acheteurs d'obtenir immédiatement les "documents" ou médicaments nécessaires. Les cas d'utilisation non autorisée des noms et numéros d'enregistrement de médecins ne cessent d'augmenter.InfoMoney


Un cas emblématique de médecin victime est celui de João Batista, pédiatre dans l'État de São Paulo. Il a déclaré avoir été contacté par l'association médicale après que de nombreux certificats médicaux à son nom aient circulé pour des patients qu'il n'avait jamais examinés.InfoMoneyDiário do Centro do Mundo


Quelle est l'ampleur du phénomène : une expansion de "plus de 20 fois" en 7 ans

Les publications illégales sont passées de 686 en 2018 à plus de 15 000 par an, soit une augmentation de "plus de 20 fois". Rien qu'entre janvier et juillet 2025, les publications liées ont été vues environ 500 000 fois, et les groupes dédiés ont atteint environ 27 000 membres. Non seulement le nombre augmente, mais le "taux de rotation" est également rapide. L'organisation par bots et faux comptes crée un cycle de détection et de disparition.InfoMoney


Ce qui est vendu : un "menu d'ordonnances" blanc, bleu, jaune et des certificats médicaux personnalisés

Les "documents" en circulation sont étonnamment bien organisés. Les ordonnances blanches pour les médicaments généraux, bleues pour les psychotropes, et jaunes pour les stupéfiants et médicaments sous stricte surveillance sont "menuisés". Des manuels d'abus incluent des instructions sur les méthodes d'impression, les "astuces" d'écriture, et des conseils pour éviter les grandes chaînes de pharmacies. Les certificats médicaux peuvent être personnalisés avec le nombre de jours d'arrêt de travail ou le code de la maladie (CID), et la vente directe de médicaments tels que les antidépresseurs, les anorexigènes et les abortifs est courante.InfoMoney


Les canaux de diffusion : publicités sur les plateformes, vidéos, vente de listes

Les lieux d'exposition sont variés. Des cas ont été confirmés où des publicités de recherche et des publicités sur les réseaux sociaux ont servi de "canaux". Dans les vidéos courtes, les "méthodes d'obtention" sont presque devenues des tutoriels. Dans les commentaires, les "vendeurs" font leur propre promotion, et sur X (anciennement Twitter), des "listes de produits" circulent. La haute visibilité attire de nouveaux entrants, rendant la surveillance et l'application de la loi difficiles.InfoMoney


La lutte réglementaire : certification numérique du CFM et décisions judiciaires, SNCR de l'Anvisa

L'association médicale (CFM) a proposé le projet "Atesta CFM" pour vérifier l'authenticité des certificats médicaux en ligne, mais en novembre 2024, le tribunal fédéral (TRF-1) l'a temporairement suspendu. Les points de litige incluent l'étendue des pouvoirs légaux et les lacunes dans la conception intégrée, et le différend est en cours.InfoMoneyJOTA JornalismoPoder360


D'autre part, en 2025, l'agence de régulation Anvisa a annoncé l'extension du "SNCR (Système national de gestion des numéros d'ordonnance)". L'État gérera de manière centralisée les "numéros" des ordonnances bleues et jaunes, en les liant individuellement aux médecins dans un modèle de "notaire numérique". Le projet prévoit l'implémentation de l'authentification automatique lors de la prescription et de la vérification en temps réel dans les pharmacies. Des tests progressifs sont prévus du printemps à l'été 2025, avec un déploiement complet attendu d'ici la fin de l'année.Serviços e Informações do Brasilmed.estrategia.com


Risques pour la santé publique : l'automédication et la contrefaçon sapent la "confiance"

Le cœur du problème réside dans la diffusion de médicaments sous contrôle sans la supervision d'un médecin. Mauvaise administration, polypharmacie, amplification des effets secondaires, dépendance, surcharge des urgences —— et perte de "confiance" envers les médecins, les pharmaciens et le système. Les organisations médicales avertissent que les actes médicaux illégaux et la "dilution" des ordonnances étendent les risques à l'ensemble de la société.InfoMoney


Réactions sur les réseaux sociaux : dénonciations des victimes, soutien à la régulation et inquiétudes sur la vie privée

 


  • Les dénonciations des victimes se multiplient. Des médecins et des comptes de presse dénoncent la prolifération de certificats médicaux et d'ordonnances falsifiés à leur nom. Dans une vidéo sur les réseaux sociaux de g1, un cas de documents émis au nom d'un médecin sans son consentement est présenté, et les commentaires sont remplis de demandes pour renforcer la vérification d'identité et protéger les noms et numéros d'enregistrement.TikTokFacebook

  • Soutien au renforcement des régulations. Dans les communautés médicales, des publications saluent l'extension du SNCR (numérisation des ordonnances bleues et jaunes). L'idée est que la "gestion centralisée des numéros" et la "vérification en temps réel" réduiront les possibilités de falsification.X (formerly Twitter)

  • D'un autre côté, des inquiétudes sur la surveillance et la gestion centralisée. Concernant la suspension de l'Atesta CFM, des critiques soulignent la concentration des données, les lacunes dans l'intégration, et les problèmes de compétence. Sur les réseaux sociaux, des opinions telles que "La centralisation des données médicales est risquée" et "L'obligation sans interopérabilité est précipitée" sont partagées.JOTA JornalismoPoder360


Pourquoi l'expansion "maintenant" : trois dynamiques

  1. Automatisation et anonymat—— Les bots et faux comptes automatisent l'offre et les procédures administratives. 2) Explosion de la visibilité—— Les recherches, vidéos et réseaux sociaux servent de "portes d'entrée", rendant visible la demande latente. 3) Rupture du système—— Les lacunes entre les systèmes papier, électronique et régionaux laissent des "trous", retardant la standardisation de la vérification d'authenticité. Ces facteurs combinés ont entraîné une "expansion de l'offre" de plus de 20 fois par rapport à 2018.InfoMoney


L'avenir des ordonnances : numérisation, interopérabilité et "humain"

Numérisation (gestion centralisée des numéros par le SNCR) est puissant pour priver les faussaires de leurs "outils", mais interopérabilité (liaison en temps réel entre les systèmes de prescription électronique, d'enregistrement des médecins et des pharmacies) est nécessaire pour une efficacité complète. En fin de compte, c'est l'"humain" qui comblera les lacunes —— processus de vérification par les médecins et pharmaciens, utilisation des journaux d'audit, renforcement de la vérification des publicités par les plateformes, facilité de signalement, éducation et littératie.
Plus le "marché" illégal semble pratique, plus il est crucial d'améliorer la "rapidité et la simplicité" des voies légales, ce qui constitue en fait une mesure efficace à court terme.


Conclusion

Le marché noir des ordonnances qui se développe sur les réseaux sociaux érode la culture de la sécurité des médicaments de l'intérieur. Les quatre acteurs que sont la justice, la régulation, les plateformes et le secteur médical doivent renforcer la chaîne de gestion des numéros→vérification en temps réel→détection des publicités et recherches→éducation pour lancer la prochaine contre-attaque.InfoMoneyServiços e Informações do Brasil


Articles de référence

Le marché illégal des ordonnances

← Retour à la liste d'articles

Contact |  Conditions d'utilisation |  Politique de confidentialité |  Politique des cookies |  Paramètres des cookies

© Copyright ukiyo journal - 日本と世界をつなぐ新しいニュースメディア Tous droits réservés.