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Les éléphants s'en vont, la puissance disparaît : Aperçu de la "défaillance fonctionnelle" des écosystèmes africains - La "coupure invisible" qui se produit en Afrique

Les éléphants s'en vont, la puissance disparaît : Aperçu de la "défaillance fonctionnelle" des écosystèmes africains - La "coupure invisible" qui se produit en Afrique

2025年10月31日 00:27

1. La "panne invisible" qui progresse sur le continent

"La 'force' naturelle de la faune africaine a perdu un tiers de sa puissance d'antan." L'article publié sur Phys.org transmet ainsi le cœur de l'étude. La recherche se concentre sur l'énergie circulée par les animaux en mangeant et en se déplaçant, et visualise à l'échelle continentale combien cela soutient les "travaux des êtres vivants" tels que la circulation des nutriments dans le sol, la dispersion des graines et le maintien de la végétation. En conséquence, les écosystèmes africains ne fonctionnent qu'à **environ 64% de leur niveau historique**.


2. Pourquoi mesurer en termes d'énergie ?

Même si l'on connaît le nombre d'espèces, il est difficile de mesurer "à quel point la nature fonctionne". L'étude intègre les données de quelque 3 000 espèces d'oiseaux et de mammifères, ainsi que l'indice BII (Biodiversity Intactness Index) version Afrique, pour quantifier la fonction en termes de quantité d'énergie circulant dans la chaîne alimentaire. Par exemple, si les grands mammifères frugivores diminuent, la quantité d'énergie convertie en dispersion des graines diminue également — ainsi, on peut suivre directement le "déclin fonctionnel".


3. Les principaux responsables du déclin : la disparition des "géants"

Particulièrement grave est l'effondrement des grands herbivores. Le flux d'énergie historiquement occupé par les éléphants, les buffles, les girafes, etc., a diminué de 72%. La résistance globale des oiseaux est relativement élevée, mais le déclin des mammifères, en particulier des grands groupes, change la structure des écosystèmes. L'étude montre également le "reste de puissance" par type d'utilisation des terres : urbain : 27% / terres agricoles : 41% / terres naturelles non protégées : 67% / zones de protection stricte : 88% (tous par rapport au niveau historique = 100%). Même dans les zones protégées, ce n'est pas complet.


4. Réorganisation fonctionnelle — Un monde soutenu par de petites espèces

Lorsque les grands disparaissent, les petits rongeurs et oiseaux assument relativement le flux d'énergie restant. Cependant, les petites espèces ne peuvent pas remplacer les "grands travaux". Les écarts créés par le piétinement des éléphants, la dispersion des graines à grande échelle, les perturbations des rivières et des prairies — ce sont les "tâches ménagères des géants". En évoquant l'exemple du remplacement des communautés dans le parc national de Gorongosa, l'étude appelle à un changement de direction : "La récupération ne doit pas être pensée en termes de 'qui ramener et combien', mais de 'quel travail ramener'."


5. Un "nouveau compteur" utilisable sur le terrain des politiques

En prévision de la COP30 (Brésil, le mois prochain), chaque pays lutte avec "comment mesurer les résultats liés à la nature". L'indicateur basé sur l'énergie est directement lié aux KPI de la restauration fonctionnelle pour la gestion d'entreprise positive pour la nature et les schémas de régénération municipaux. Le secteur financier commence également à traiter la dégradation du capital naturel comme un risque macro, et cela pourrait servir de base pour l'analyse de scénarios liés à la nature.


6. Réactions sur les réseaux sociaux : sentiment de crise, mise en œuvre, et réalisme

Dès sa publication, l'article a suscité des réactions sur les réseaux sociaux. Sur Reddit, le r/conservation a vu un fil de discussion émerger, et l'intérêt s'est répandu. Le sujet a également été discuté sur r/megafaunarewilding, où l'attention s'est portée sur les priorités de réensauvagement, l'acceptabilité sociale des grands herbivores, la conception des corridors, etc., avec un regard sur la "mise en œuvre". À court terme, le principal débat est de savoir comment changer l'utilisation des terres et la répartition des fonds.


7. Cinq propositions (politique, terrain, entreprise)

  1. Transformation en "KPI fonctionnels" : Introduire le taux de récupération du flux d'énergie comme KPI dans les projets de restauration naturelle des réserves et des entreprises (ex : score par fonction pour les grands herbivores, la dispersion des graines, la perturbation du sol, etc.).

  2. Récupération prioritaire des mégafaunes : Avec les keystones fonctionnels tels que les éléphants comme noyau, réintroduction progressive et atténuation des conflits avec les humains et le bétail (clôtures électriques, compensation, zones tampons agro-sauvages).

  3. Conception de corridors × propriété : Formation de consensus pour des corridors fonctionnels traversant des terres privées, partagées et protégées. Compenser les coûts d'opportunité avec des crédits de capital naturel ou des assurances.

  4. Localisation des données : Élargir davantage les données enracinées dans la connaissance régionale comme BII4Africa. Connecter les observations des gardes locaux, chercheurs et communautés aux indicateurs officiels.

  5. Déverrouillage "nature-climat-humain" : Poursuivre simultanément le carbone et les fonctions avec des plans intégrés de conservation des forêts, de gestion de l'élevage et de ressources en eau. Intégrer les connaissances des recherches connexes dans des packages politiques.


8. Pourtant, il y a de l'espoir

L'étude suggère également que les fonctions perdues peuvent être restaurées grâce à des investissements dans la protection et la régénération. L'important n'est pas une "liste d'espèces", mais un "plan de restauration des travaux". Ramener les éléphants est symbolique, mais derrière cela se trouve la restauration de la distance de transport des graines et de la perturbation qui maintient les prairies. Mesurer, protéger et augmenter le "travail des êtres vivants" que la nature possède intrinsèquement — cela deviendra le mot d'ordre des dix prochaines années.



Références (sources principales)

  • Article de Phys.org (date de publication : 29 octobre 2025). Résumé, contexte et mention de la COP30.

  • Article principal de Nature : Flux d'énergie total 64%, grands herbivores -72%, taux de persistance par utilisation des terres, etc.

  • Nature News & Views : aperçu et signification.

  • Communiqué de presse d'Oxford Nature Recovery. Direction de l'utilisation politique.

  • NGFS "Green Scorpion" : du point de vue du risque financier.

  • Fils Reddit : r/conservation, r/megafaunarewilding réactions initiales.



Annexe : Modèle d'utilisation sur les réseaux sociaux (facultatif)

  • X/Bluesky : "La 'puissance' des écosystèmes africains est à 64% du niveau historique. Grands herbivores -72%. Il est temps de mesurer la 'fonction' plutôt que le 'nombre d'espèces'. #Biodiversity #Rewilding #NaturePositive"

  • LinkedIn : "Visualiser le retour sur investissement de la restauration naturelle avec des KPI fonctionnels (flux d'énergie). Alignement avec la gestion des risques financiers liés à la nature. #TNFD #NGFS"



Note

Le texte est un original rédigé de manière indépendante sur la base de chaque source. Seuls les points importants tels que les chiffres et les noms propres ont été cités ou résumés, sans reproduire les expressions détaillées de l'étude.


Article de référence

"La faune africaine a perdu un tiers de sa 'force' naturelle", avertit une étude
Source : https://phys.org/news/2025-10-africa-wildlife-lost-natural-power.html

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